Resumen
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Général
- – Hagáis lo que hagáis, no lo conseguiréis nunca.
– Quoi que vous fassiez, vous ne réussirez jamais / vous n’y arriverez jamais / vous n’y parviendrez jamais.
- – Aunque estáis haciendo esfuerzos, vuestros resultados siguen siendo insuficientes.
– Quoique / Bien que vous fassiez des efforts, vos résultats sont toujours insuffisants.
- – Por muchas circunstancias atenuantes que tengan, digas lo que digas, a esa edad, tanto ella como él, tendrían que haber dejado el domicilio de sus padres desde hace mucho tiempo. Hace la tira que mis hijos se independizaron.
– Ils ont beau avoir des circonstances atténuantes, quoi que tu dises, à cet âge-là, aussi bien elle que lui, ils auraient dû quitter le domicile de leurs parents il y a longtemps. Il y a belle lurette / ça fait un bail que mes enfants se sont émancipés.
- – Mireille dijo con voz débil: “Acompáñeme, señorita Hardy, hace mucho que no la oigo.”
– Mireille dit d’une voix fluette : « Accompagnez-moi, mademoiselle Hardy, voilà / il y a / ça fait longtemps / un bail / des lustres / belle lurette que je ne vous ai entendue. »
- – Ha decidido divorciarse. No porque ya no esté enamorada de su marido, sino porque está harta de ser su chacha.
– Elle a décidé de divorcer. Non / Non pas / Ce n’est pas qu’elle ne soit (cause irréelle) plus amoureuse de son mari mais / mais c’est que / mais parce qu’elle en a (cause réelle) assez / marre / ras le bol d’être sa bonniche.
- – Él le pidió que no le llamase nunca más. Así se convirtió en una solterona amargada y se dio a la bebida.
– Il lui demanda de ne plus jamais l’appeler. Ainsi est-elle devenue une vieille fille aigrie et s’est-elle mise à boire / adonnée à la boisson / a-t-elle sombré dans l’alcool.
- – No tengo otro, ¡cuídalo!
– Je n’en ai pas d’autre, prends-en soin / fais-y attention / fais-y gaffe !
- – Aunque ya vi La Vida por delante con Simone Signoret, me apetece ver esta obra otra vez con Concha Velasco.
– Quoique (fait réel) j’aie déjà vu La vie devant soi avec Simone Signoret, j’ai envie de revoir cette pièce avec Concha Velasco.
- Pues yo no iría aunque me invitasen.
– Ben moi je n’irais pas même si (fait hypothétique) on m’invitait.
- – Debido a la nueva ley, el bar está casi vacío. En cambio, la terraza está llena de clientes. A pesar del frío, prefieren estar ahí puesto que es el único sitio donde pueden echar un pitillo.
– Du fait de / En raison de / À cause de la novelle loi, le bar est quasiment / presque vide. En revanche / Au contraire / Par contre, la terrasse regorge de clients. En dépit du froid, ils préfèrent être là vu que c’est le seul endroit / l’unique lieu où ils peuvent fumer une clope / en griller une.
- – La deserción de los bares debida a la nueva ley es algo pasajero. Y por si alguien lo duda, basta con que mire atrás para cerciorarse de ello. Cuando se prohibió fumar a bordo de los aviones, los fumadores pusieron el grito en el cielo. Hoy en día, a nadie se le ocurriría encender un cigarro en un avión. Y si alguien lo hiciera, se armaría una buena.
– La désertion des bars due à la nouvelle loi est quelque chose de passager. Et au cas où quelqu’un en douterait, il suffit de regarder en arrière pour en être sûr. Lors de l’interdiction de fumer à bord des avions, les fumeurs ont poussé de hauts cris / ont crié au scandale. Aujourd’hui / De nos jours, personne ne s’aviserait d’allumer une cigarette dans un avion. Et si quelqu’un le faisait, ça barderait drôlement.
- – Mi madre aprendió a sisar, al principio, para llegar a fin de mes. Luego, como se le daba tan bien, para vivir un poco más desahogadamente.
– Ma mère a appris à carotter, au début, pour arriver à joindre les deux bouts. Ensuite, comme elle s’y prenait si bien, afin de mettre du beurre dans les épinards.
- – Descorcho una botella para celebrar nuestro reencuentro.
– Je débouche une bouteille pour / afin de / histoire de fêter nos retrouvailles.
- – Como se te ocurra salir a nuestras espaldas, ¡olvídate de la moto!
– Si jamais tu t’avises de sortir à notre insu, oublie la moto !
- – “¡Como se te ocurra coger dinero de la caja, aunque sólo sea un céntimo, te pongo de patitas en la calle!”, gritó.
– « Si jamais tu t’avises de prendre de l’argent dans la caisse, ne serait-ce qu’un centime, je te mets / fous à la porte ! », a-t-il tonné.
- – “¡Escondes compras a tu marido para evitar que se enfade!”, exclamó ella.
– « Tu caches des achats à ton mari pour éviter qu’il ne se fâche ! », s’est-elle écriée.
- – Hacen comentarios homófobos delante de sus hijos para evitar que cuando crezcan sean gays.
– Ils font des commentaires homophobes devant leurs enfants pour éviter / empêcherqu’ils ne soient homosexuels quand ils grandiront.
- – “Si te despiertas y estás asustada, llámame, hija mía”, dijo con su vocecilla temblona.
– « Si tu te réveilles et que tu aies peur, appelle-moi, mon enfant », a-t-elle dit de sa petite voix chevrotante.
- – Si sigues sisando y se da cuenta el jefe, te echará
– Si tu continues à carotter et que le patron s’en rende compte / s’en aperçoive, il te virera / mettra à la porte.
- – “Si usted volviera y yo supiera algo más, se lo diría”, le dijo él a ella.
– « Si vous reveniez et que j’en sache davantage, je vous le dirais », lui a-t-il dit.
- – Si hay en algún sitio una aurora y yo descubro el camino, andaré hacia ella sin apoyarme en ti.
– S’il y a quelque part une aurore et que j’en découvre le chemin, j’y marcherai sans m’appuyer à toi.
- – Sé que te vas a la calle y vuelves antes de que yo llegue, para que no pueda pillarte.
– Je sais bien que tu sors et que tu rentres avant que je n’arrive, pour que / afin que je ne puisse te pincer ; de crainte que / de peur que je ne puisse te pincer.
- – Piense que con los adelantos actuales de la criminología cualquier detalle, un solo cabello, puede significar una pista.
– Pensez qu’avec les progrès actuels de la criminologie n’importe quel détail, ne serait ce qu’un cheveu, peut signifier une piste.
- – Juzgó que su habitación era acogedora, incluso íntima, y desde luego muy tranquila, lo cual es una ventaja en una ciudad tan ruidosa como Madrid.
– Il jugea que sa chambre était accueillante, voire / et même intime, et pour sûr très tranquille / calme, ce qui est un avantage dans une ville aussi bruyante que Madrid.
- – Apenas había cerrado los ojos cuando el timbre del teléfono lo sobresaltó.
– À peine avait-il fermé les yeux que la sonnerie du téléphone le fit sursauter.
- – Sólo si desaparezco de repente, o si muero en extrañas circunstancias, estará usted autorizado a difundir el contenido de las cintas.
– Seulement si je disparais tout à coup, ou que je meurs dans d’étranges circonstances, vous serez autorisé à répandre / divulguer / diffuser le contenu des cassettes.
- – “Una relación privada es la mejor película que se ha hecho desde hace una década”, afirma André Delvaux.
– « Une liaison pornographique est le meilleur film qu’on ait fait depuis une décennie / dizaine d’années », affirme André Delvaux.
- – No vamos a ver la película ya que no está en versión original y por tanto carece de interés.
– On ne va pas voir le film puisqu’il n’est pas en V.O. et est donc dépourvu d’intérêt.
- Aun así, podríamos ver algo, aunque sólo sea el tráiler.
– On pourrait quand même voir quelque chose, ne serait-ce que la bande-annonce.
- – Sus abuelos murieron cuando era pequeña y no los recuerda apenas.
– Ses grands-parents sont décédés lorsqu’elle était petite et elle ne se souvient guère d’eux / ne se les rappelle guère.
- – Apenas el niño acaba de estrenar sus zapatos nuevos, ya están estropeados.
– À peine l’enfant vient-il d’étrenner ses nouvelles chaussures qu’elles sont déjà abîmées.
- – Si los baúles hubieran sido más pequeños, o si hubieran tenido una baca en el coche, podrían haberse llevado todo el equipaje.
– Si les malles / cantines avaient été plus petites, ou qu’ils avaient eu une galerie sur la voiture, ils auraient pu emporter tous leurs bagages.
- – Entonces fue cuando el comisario salió de sus casillas y le espetó: “debido a mi profesión, he oído una sarta de mentiras. Pero no cabe duda de que tu historia se lleva la palma, es la peor mentira que he oído nunca”.
– C’est alors / à ce moment-là que le commissaire est sorti de ses gonds / s’est emporté et lui a lancé : « En raison de / Eu égard à / À cause de / Du fait de ma profession, j’ai entendu un chapelet / tissu de mensonges. Mais il n’y a pas de doute / ça ne fait pas de doute que ton histoire remporte la palme, c’est le pire bobard que j’aie jamais entendu.
- – El ladrón que andaba por el tejado no era un hombre sino… un gato. ¡Vaya historia!
– Le voleur qui marchait sur le toit n’était pas un homme mais… un chat. Parlez d’une histoire !
- – Sus padres han decidido ponerlo en un internado. No porque sus notas sean malas, sino porque está colado por una chica que es diez años mayor que él y que, a juzgar por lo que dice la gente, es una inútil y temen que a su lado su hijo se convierta en un golfo.
– Ses parents ont décidé de le mettre / l’envoyer dans un internat / pensionnat. Non que / non pas que / ce n’est pas que ses notes soient mauvaises, mais / mais c’est que / mais parce qu’il en pince pour une fille qui est de dix ans son aînée / a dix ans de plus que lui et qui, à en juger par ce que les gens disent, est une bonne à rien et craignent qu’à ses côtés leur fils ne devienne un vaurien / voyou.
- – Maggy, que no aguantaba más, ordenó: “¡Karine, no quieres dejarlos un poco en paz! ¿No? Deja este trasto de una vez y ve a recoger tu cuarto. Si no, te lo confisco, tu cacharro”.
– Maggy, qui n’en pouvait plus / n’y tenait plus, a ordonné : « Karine, tu ne veux pas leur foutre la paix ! Non ? Laisse ce truc une bonne fois / une fois pour toutes et va ranger ta chambre. Sinon, je te le confisque, ton bidule. »